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Les « Entretiens sur l'éducation » est un mensuel publié sans interruption depuis plus de 100 ans.
Le site www.entretiens.ch vous offre la possibilité de consulter en ligne ces extraordinaires archives parcourant/ponctuant au jour le jour l'histoire de l'éducation familiale d'un bout à l'autre du XXème siècle.
La survie de la brochure mensuelle imprimée parallèlement à la distribution virtuelle à travers le site est le garant de la poursuite de cette aventure. La rédaction est assurée de façon bénévole par un groupe de parents passionnés par la réflexion et l'écriture autour du vécu familial. Les frais d'impression du journal et la gestion du site (100 000 pages demandées par mois??)....30.- par an (20€).
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La mère de Gaston Frommel (1)

Une éducatrice

Pour forger une âme, Dieu emploie souvent plus d'un ouvrier.
Ainsi en fut-il pour l'âme de Gaston Frommel. Si Stockmayer le conduisit, alors qu'il n'avait que 17 ans, à s'abandonner à son Sauveur et à se donner à Lui(2), Frédéric Godet lui révéla par sa vie, la réalisation possible de la sainteté. Plus tard, le professeur Frank à Erlangen et César Malan fils à Genève, tout en fortifiant sa foi, l'aidèrent à formuler en termes d'école sa pensée théologique et morale.
Mais avant eux et plus qu'à eux tous, c'est à sa mère qu'il dut cet esprit d'obéissance absolue aux ordres de la conscience, esprit qui inspira, dès sa conversion, toutes les décisions qu'il eut à prendre au cours de sa vie. Tout ce que je suis, je le lui dois a-t-il dit en parlant d'elle (3). Il a dit aussi : Elle nous a tous, tant que nous sommes, deux fois enfantés à la vie (3).
D'où venait à cette mère cette force créatrice ? Pour transmettre la vie, il faut la posséder. La mère de Gaston Frommel avait trouvé la vie le jour où Dieu avait pris possession de son âme. Elle avait alors 16 ans ; elle faisait son instruction religieuse et habitait avec ses parents la ville alsacienne de Guebwiller.
Ce n'est pas sans émotion qu'on lit son journal de jeune fille. Isolée des siens au point de vue religieux, elle confie à son journal les pensées de son âme : résolution de servir fidèlement son Maître, de Lui obéir en toutes choses, d'être son témoin dans sa famille et dans le monde.
Mariée en 1857, elle trouva un allié et un soutien dans le compagnon de sa vie.
Ensemble, ils prirent en 1871 une décision grave. L'Alsace venait d'être annexée à l'Allemagne. Ne voulant pas renoncer à leur nationalité française à laquelle ils tenaient par le coeur, et obligés de se fixer à la campagne pour que M. Frommel - précédemment sous-inspecteur des forêts impériales - put se livrer à des travaux agricoles, ils furent d'accord en quittant l'Alsace de se fixer non en France, leur patrie, où ils auraient été dans une ambiance catholique, mais à l'étranger, en Suisse romande, afin de placer leurs enfants dans une atmosphère protestante. Leur exode a donc été un exode religieux.
Ils acquirent avec les débris de leur fortune une propriété rurale, le Pré Mermoud, à un kilomètre d'Avenches. Leur maison d'habitation était une de ces grandes maisons bernoises à volets verts et au toit dépassant, au fond d'une vallée où court un ruisseau (4).
C'est dans ce cadre rustique que dès lors s'écoula leur vie, offrant à tous ceux qui savaient voir - combien en témoignent encore aujourd'hui ! - le spectacle d'une union magnifique fondée sur le roc. «Moi et ma maison nous servirons l'Eternel » auraient-ils pu dire en s'établissant à Avenches.
Ils se complètent admirablement. Lui est grave et calme, souvent silencieux. Il est juste, intègre, ne recherche pas son intérêt, mais celui de Dieu et du prochain. Nous le voyons fonder à Avenches une section de croix-Bleue et soutenir vaillamment l'Eglise libre presque inexistante à son arrivée. C'est à lui que l'on recourt dans la petite ville quand surgit une difficulté; on fait appel à son jugement, à son conseil, parce qu'on le sait à la fois capable et désintéressé.
Elle, d'une nature expansive, ardente même, a une intelligence pénétrante, un esprit très cultivé. Quoique sa vue soit gravement atteinte, qu'elle souffre de
violents maux de tête et de fréquentes insomnies, elle répand autour d'elle la joie et y entretient la gaîté. Elle a pour tout ce qui intéresse les autres une sympathie profonde; avec un don de concentration remarquable, elle les écoute et les comprend. On sait qu'auprès de cette femme d'élite, on trouvera toujours appui et conseil ; aussi ne peut-on se passer d'elle.
Son coeur allait surtout à ceux qui en avaient un besoin plus grand. Nous en avons recueilli de précieux témoignages parmi ceux qui profitèrent de sa généreuse hospitalité: étant enfant et orphelin de mère, Monsieur F. M., aujourd'hui directeur d'un Institut d'Etudes arméniennes à Paris, était souvent accueilli au Pré Mermoud.
Mme Frommel, déclare-t-il, me considérait comme son troisième fils ; elle me choyait, elle m'aimait ; elle voulait sans doute me faire oublier que je n'avais plus de mère. Aussi était-ce pour moi une fête, une joie, que de passer quelques semaines dans sou entourage immédiat, dans cette chaude, bonne et bienfaisante atmosphère. C'est certainement à Avenches que j'ai ressenti les plus intimes émotions intellectuelles et morales de nia vie. J'y ai passé des heures d'une intensité profonde.
Elle a aussi connu et aimé ce foyer familial, Mme B., qui, dans son enfance, y était reçue journellement : J'aimais Mme Frommel avec ferveur, écrit-elle; mon cÅ“ur d'enfant répondait sans mesure à ce coeur qui savait si bien aimer. J'aimais sa droiture, sa fermeté; je la sentais si près de Dieu !
.. Le Pré Mermoud était la maison de la joie. Cependant la souffrance était là, inexorable.

Tel est le foyer lumineux et bienveillant où grandissent les six enfants Frommel.
Leur mère sait que certaines conditions matérielles doivent être assurées dans une maison, si l'on veut que l'harmonie y règne. Sous sa direction, chaque objet a une place et cette place est respectée. Cet ordre parfait créait comme une atmosphère de netteté, et par contre-coup de propreté morale dont chacun subissait l'influence.
Ma mère m'a deux fois enfanté, et la vie spirituelle que j'ai héritée d'elle, n'est qu'un pauvre reflet de ce que fut la sienne.
Gaston FROMMEL.


Balayant de sa vie et de la vie de ses enfants toute superfluité, tout esclavage de la mode qui risqueraient d'accaparer un temps ou un argent précieux, elle donne à chaque occupation de valeur le temps qui lui revient, et consacre les économies réalisées aux besoins des malheureux et des sans-abri. Le Pré Mermoud leur reste ouvert toujours.
Tout est paix dans la maison ; on n'y entend aucun bruit inutile ni aucun propos vulgaire ; on ne critique pas les gens ; on ne se plaint pas d'eux ni des choses. On supporte gaîment les petits ennuis inévitables de l'existence.
Mme Frommel en donne l'exemple la première. Elle n'a nulle complaisance pour elle-même et n'admet pas que ses enfants en aient pour eux.
Elle les regarde vivre avec tendresse et vigilance, attentive à ce qui se passe en eux. Sont-ils droits de coeur? L'amour pour Dieu s'éveille-t-il en leur âme? Leur conscience les oblige-t-elle à obéir?
Elle note parfois ses observations. Gaston n'avait que six ans lorsqu'elle écrivait : Il a non seulement un sens profond du devoir, mais une disposition sérieuse à l'accomplir, mais un goût particulier, un certain tact pour les choses d'En-Haut. Il se montre plus ardent encore que dans les autres choses quand il s'agit de saisir et de comprendre les sujets religieux; c'est ce qui me donne de douces espérances à son sujet.
Les six enfants sont suivis d'année en année avec la même sollicitude religieuse.
Chaque soir - grâce à sa parfaite méthode de travail - cette mère trouve moyen de consacrer un moment à chacun de ses enfants.
Passant sa main douce et tendre sur la tête du petit, elle le regarde au fond des yeux et lui dit : Qu'as-tu fait aujourd'hui ?
L'enfant sent qu'il est aimé et qu'il peut tout dire; mais il sait aussi ce qu'exige sa mère. Il dit ce qu'il a fait, il se confesse peut-être. La mère l'écoute, elle prie ; le petit prie à son tour, puis il gagne son lit, joyeux et le coeur au large.

La journée commence par le culte de famille, Dieu y est présent; les enfants le sentent. Le père demande pour tous, parents, amis, enfants, la lumière sur le chemin, et la force d'En-Haut pour obéir à la lumière reçue.

Obéir, voilà bien ce qui caractérise l'éducation donnée à ces enfants. Ils n'obéissent pas sous la menace de punitions ou la promesse de récompenses; non pas même pour « faire plaisir » à leurs parents.
Ils obéissent parce qu'ils voient père et mère obéir. Leur exemple conjugué et constant - d'où résulte leur ascendant moral - s'est peu à peu infiltré en eux, les a comme pénétrés.
Ils obéissent parce que dès longtemps on leur a fait distinguer le bien d'avec le mal; on leur a fait peser le pour et le contre de leurs actions.
Ils obéissent parce que l'acte à faire ne leur est pas imposé, mais parce qu'on les amène à se l'imposer à eux-mêmes.
Ils obéissent parce qu'on a confiance en eux et qu'ils veulent être dignes de cette confiance. On peut ainsi leur laisser beaucoup d'initiative et une très grande liberté d'action.
On le peut parce que sur la table de leurs coeurs est inscrite l'obligation impérieuse d'obéir.
Que l'on songe aujourd'hui à la valeur suprême qu'est cette obligation absolue de la conscience. On parle beaucoup de l'autorité nécessaire dans la conduite de la vie et certes on a raison. La jeunesse contemporaine en a le besoin instinctif mais elle cherche le chef qui la dirigera ou le cadre qui la gardera. Comment la persuader que l'autorité intérieure est la seule qui compte?

Tout enfant passe par une crise physiologique et morale qui est parfois fatale. II faut avoir préparé cette crise redoutable par la culture de la conscience. Tous les parents le savent-ils et le font-ils ?
Gaston Frommel subit cette crise pendant des années qui durent paraître longues à sa tendre mère. Il est devenu farouche, sauvage ; il se renferme en lui-même. II fuit la compagnie des humains. Il ne s'intéresse qu'aux animaux. Lorsqu'il se rend au Collège, un campagnol dans chacune de ses poches, il prend un chemin détourné pour ne rencontrer personne. Il marche, déjà ardemment attentif à tous les bruits de la nature et en communion profonde avec elle.
Cependant les notions de droiture ne l'ont pas abandonné dans le désarroi de sa crise : Il témoigne d'une conscience délicate et scrupuleuse, déclare son maître. Le fond n'est donc pas atteint.

Mais que fera-t-on de ce garçon ?
Il n'a pas montré au Collège d'aptitudes spéciales, sauf pour la composition française. Pour le reste, ses facultés sont comme engourdies. D'autre part, le joug de la maison lui pèse. Il aspire à aller loin, bien loin, dans des pays nouveaux. Il s'en ouvre un jour à ses parents. Le coeur de sa mère se serre. La raison du père lui dicte un conseil pratique: «Il est sage d'avoir un métier entre les mains quand on débarque sur un sol inconnu. Que feras-tu ? Tu n'aimes que les animaux ?»
- Eh bien, je serai vétérinaire.
Vétérinaire ! Ce n'est pas la carrière que sa mère aurait rêvée, mais elle accepte dans le silence la résolution prise.
D'ailleurs, ce qui importe avant tout, c'est autre chose. Ce qu'elle demande et attend c'est que le Sauveur se révèle à lui complètement.
Elle est près d'être exaucée.
Gaston va à Berne pour suivre des cours de sciences; il y passe trois semestres. Vers la fin de son séjour il tombe malade. Son coeur est en défaut par suite d'une croissance trop rapide.
Sa mère qui ne veut tenir la guérison que de Dieu même, le conduit à Hauptweil, c'est-à-dire à Stockmayer.
Dans l'immobilité silencieuse où me laissait l'absence de tout but extérieur, dira-t-il plus tard à ses étudiants (5), la conscience éleva sa voix. Plus je l'écoutais - et je ne pouvais pas ne pas l'écouter - plus elle me condamnait ; elle me jugeait et me condamnait moi-même, moi proprement, moi tout entier, dans le mal que je confessais comme dans le bien que je m'étais attribué. Il n'y avait plus de différence. Tout en moi était également souillé, parce que tout était également entaché de volonté propre. J'étais moi-même perdu…..
L'absolue sainteté d'un Dieu que je connaissais à peine et que je n'osais plus même nommer tant sort nom m'épouvantait, éclatait dans ma conscience; à la clarté de son implacable lumière, je me voyais irrévocablement jugé, condamné, perdu. C'est alors et lorsque je goûtais jusqu'à la lie l'horreur de ma perdition que Dieu par sa grâce me fit faire l'expérience de son salut…
Il m'envoya l'un de ses serviteurs, un de ces témoins vibrants de la rédemption qui est en Christ…… Sa parole me jeta brisé, vaincu aux pieds de Christ, et là, sans hésitations, sans réticences, sans curiosités théologiques d'aucune sorte, simplement parce qu'il était sauveur et que j'étais perdu, je m'abandonnai moi-même et me donnai à Lui. C'est de ce jour que date ma conversion chrétienne et ma vocation pastorale…. C'est de ce jour que j'ai su de toute certitude que le christianisme est une rédemption.

Il est né à la vie! Le coeur de la mère, après cette longue gestation, éclate de joie et de reconnaissance. Ce qu'elle désire avec ardeur pour chacun de ses enfants est arrivé pour Gaston. C'est la délivrance.
Elle le voit dès lors et avec ravissement se développer d'une manière extraordinaire tant au point de vue physique et intellectuel qu'au point de vue religieux ; c'est comme un papillon sortant de sa chrysalide. A certains égards son rôle d'éducatrice est comme terminé. Mais elle restera l'amie tendre, intelligente et éclairée, la conseillère. Elle sait d'ailleurs que des tentations d'ordres divers peuvent surgir pour son fils. Il n'a pas 18 ans.
Mais elle le verra pourtant marcher sans recul vers le but que Dieu a placé devant lui : le ministère. Il écartera de sa route la proposition que lui fera son professeur de Berne, M. Lucksinger de lui succéder dans son enseignement.
A Neuchâtel où il fera ses études de théologie, elle le verra éloigner sans hésitation de sa pensée la perspective que lui fait entrevoir un maître très aimé, - le professeur Adrien Naville - de prendre sa place un jour dans sa chaire de philosophie.
Avec quel bonheur ils parleront de tout cela ensemble quand, samedi après samedi, il se hâtera de mettre à la voile sa Coquille - bateau qu'il s'était construit lui-même - pour rentrer à la maison, et retrouver sa mère.
Ils discuteront ensemble tous les problèmes qui se présentent à son esprit et à son âme. Il lui lira tout ce qu'il écrit. Quelle joie ils éprouveront à se trouver en communion si parfaite dans leurs expériences et le but de leur vie à tous deux: la recherche et la conquête des âmes.
Quand il ira à Erlangen, où l'attirera le professeur Frank, la communion avec sa mère ne sera pas interrompue. Il lui écrira un jour:
Je travaille beaucoup, intérieurement plus qu'extérieurement et sous le regard de Dieu ; je sens de plus en plus un homme nouveau grandir en moi, un homme spirituel aussi bien qu'intellectuel. Je sens que vous priez pour moi. Adieu je t'embrasse bien tendrement.
Elle s'inquiètera pour son âme, lorsqu'elle saura qu'il a reçu un message flatteur de Loti, à propos d'un article critique qu'il a écrit sur son oeuvre. Reste-t-il humble? elle lui enverra quelques lignes, tout ce que ses pauvres yeux lui permettent d'écrire. Frommel écrira à son père: Merci encore à mère de son petit billet. Quant à l'humilité, j'espère bien que Dieu me préservera de l'orgueil. Je sais trop combien je suis peu de chose. Il m'envoie trop d'heures d'abattement et de découragement pour que je ne cherche pas à m'élever.
Mais d'autres lauriers feront surgir la tentation suprême.
Voguë après avoir reçu ses «Etudes littéraires et morales» le remerciera de ce livre d'une inspiration si noble, d'une critique si pénétrante. On ne fait rien, lui écrit-il, d'aussi fort à Paris, il semble que cela vienne d'un autre monde moral.
Et Puaux le directeur de la Revue chrétienne : Il y a une belle place à prendre dans la littérature protestante ; j'espère que vous ne la laisserez pas échapper.
C'est là que sera la tentation.
Renoncera-t-il à sa vocation pastorale? Pourrait-il peut-être la concilier avec une carrière littéraire ? L'exemple de Vinet ne peut-il être suivi ? On pense à la lutte de Jacob en se représentant sa lutte à lui. Mais la voix de Dieu en lui est toute puissante et c'est elle qui vaincra.
Seippel, l'ami de Frommel le dira excellemment après sa mort :
Il vivait dans l'absolu et dédaignait le relatif. Il obéissait et il a donné l'exemple de l'obéissance. Voilà qui demeure quand les livres tombent en poussière. Il a accepté, très à regrets je le sais car il aimait passionnément les lettres, il a accepté de limiter son activité. Alors sur un terrain étroitement borné, il a construit son édifice: tout eu hauteur comme sa vie.
Il obéissait et il a donné l'exemple de l'obéissance. Sa mère a obéi et elle a donné l'exemple de de l'obéissance.
Elle m'a deux fois enfanté, a-t-il dit, et la vie spirituelle que j'ai héritée d'elle n'est qu'un pauvre reflet de ce que fût la sienne.
Et d'autres aujourd'hui dans leur lignée marchent comme eux, joyeusement, dans le sentier étroit de l'obéissance.


(1) Gaston Frommel, né en 1862 à Altkirch (Alsace) et professeur en théologie à l'Université de Genève dès 1894. Mort à Genève en 1906.
(2) G. Frommel. Etudes morales et rel.; «Franche explication», p, 26.
(3) Lettres intimes. II vol., p 37 et 32.
(4) G. Frommel. « Lettres intimes », p. 49.
(5) G. Frommel. «Etudes morales et religieuses : Franche explication.»









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