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A propos de l'année de l'Enfant: «De petites idées mises bout à bout»
Je me demande si ce n'est pas commercial. Ou bien qu'on demande de l'argent, des livres ou de vieux jouets pour les enfants, ce «pour» n'ayant pas son réel sens: il fait un peu trop charité. Il n'est pas assez net, un peu flou, un peu sentimental. Ou bien, alors, que l'on profite des enfants pour faire ci ou ça.
C'est fort possible que l'Année de l'Enfant soit sérieuse. C'en est le cas probablement. Mais, je ne sais trop pourquoi, cela me paraît un brin artificiel.
Moi, je trouve que l'Année de l'Enfant devrait être comme ceci: toutes les classes de toutes les écoles devraient communiquer avec d'autres classes d'autres écoles d'enfants qui ont des problèmes. Chaque classe écrirait à une classe d'environ le même âge. Ils communiqueraient ainsi pour se dire ce qui va et ce qui ne va pas, et s'aider dans leurs chagrins. Car la faim, la soif, peuvent passer avec de l'argent, mais non la tristesse. Le bonheur ne s'achète pas mais se donne. Le bonheur remplace la faim mieux que la faim, le bonheur.
Si chaque classe s'occupait de «sa» classe afin que tout aille à peu près bien (question nourriture, chaleur et bonheur), peut-être que quand même il y aurait moins d'enfants malheureux.
Avec ce système-là, les choses parvenant directement, c'est plus sûr et plus rapide que d'envoyer aux organisations pour l'enfant.
Je ne veux pas critiquer ce qu'on fait, mais je veux quand même dire mon opinion.
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