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Les « Entretiens sur l'éducation » est un mensuel publié sans interruption depuis plus de 100 ans.
Le site www.entretiens.ch vous offre la possibilité de consulter en ligne ces extraordinaires archives parcourant/ponctuant au jour le jour l'histoire de l'éducation familiale d'un bout à l'autre du XXème siècle.
La survie de la brochure mensuelle imprimée parallèlement à la distribution virtuelle à travers le site est le garant de la poursuite de cette aventure. La rédaction est assurée de façon bénévole par un groupe de parents passionnés par la réflexion et l'écriture autour du vécu familial. Les frais d'impression du journal et la gestion du site (100 000 pages demandées par mois??)....30.- par an (20€).
En dehors du grand intérêt pour vous de cette matière exceptionnelle, que vous soyez jeune parent, chercheur dans une université ou simplement intéressé par l'évolution des comportements humains, votre soutien par l'intermédiaire d'un abonnement nous est indispensable.
Pour les pays lointains et si vous ne désirez pas profiter de la version papier, un abonnement sous forme de pdf est accessible au même prix annuel de CHF 30. Il vous donne un accès complet aux archives
J'hésite... que faire ?
A propos de la question posée par Mme H. à laquelle nous avons répondu dans les «Entretiens» de mai, une abonnée nous écrit:
«Le médecin traitant de mon enfant m'a expliqué, au cours d'une conversation, qu'un manque de sucre dans l'organisme provoque dans certains cas, une irritation nerveuse qui peut se manifester chez l'enfant, par des crises de colère. Une douceur quelconque donnée à ce moment-là peut très bien apaiser un état d'irritabilité.»
Ceci s'explique très bien, mais ne facilite pas notre tâche. Excès de malice ou insuffisance de sucreries ? Pour se prononcer, il faudra peut-être l'avis du médecin. De toutes façons, les «remèdes» que nous donnions dans notre réponse de mai restent valables.
Deux questions nous ont été posées. Nous les reproduisons ci-dessous, nous y répondrons en septembre et demandons instamment à ceux qui auraient fait des expériences sur les deux points évoqués et qui pourraient en faire bénéficier d'autres parents, de faire l'effort de nous écrire très simplement et brièvement pour nous les communiquer.
«Comment avertir sans les effrayer nos enfants, dont deux parcourent quotidiennement un long chemin solitaire jusqu'à leurs écoles respectives du danger que représentent les malades, les désaxés, les tristes sires comme disent les journaux.
Et plus tard, lorsqu'ils auront 12 à 14 ans, qu'ils sont si influençables et que toutes les questions sexuelles les tracassent, ne deviendront-ils pas des proies toutes trouvées pour ces sociétés d'homosexuels si répandues et à peine cachées de nos jours? Faut-il se dire que, si nous élevons nos enfants sainement, ils réagiront de même ?»
Mme J. P.
«Mon enfant, âgé de 3 ans, a fait, il y a six mois, un séjour en clinique pour y subir une petite opération. Depuis son retour à la maison, il dort mal et chaque nuit, il se réveille et pleure jusqu'à ce que je le prenne dans mes bras, le berce et le prenne dans ma chambre. Je ne pense pas avoir adopté la méthode la meilleure, c'est en tout cas celle qui permet aux voisins de dormir et de ne pas être dérangés par les pleurs de mon enfant. Quels conseils pouvez-vous me donner?»
Mme S. P.
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